Algérie, transition vers l’incertain

“La croissance des importations, elle, se poursuit même si dans certains secteurs, notamment alimentaire et automobile, la contraction est forte. Ce commerce se fait sur des bateaux étrangers, la Compagnie nationale de navigation d’antan ayant été bradée au sulfureux homme d’affaires saoudien Gaith Pharaon au début du siècle. Le résultat est sans surprise : les réserves de change enregistrent une forte contraction et s’établiront sans doute à 130 milliards de dollars en fin d’année contre 178 milliards un an plus tôt”, Francis Ghilès.