Une Espagne en pleine campagne électorale prend le relais de la Suède

Dans une interview au journal belge Le soir sur la présidence tournante de l’UE, Carme Colomina souligne que «II existe deux facteurs importants à Bruxelles. Cette présidence espagnole arrive en fin de mandat européen, l’agenda législatif s’accumule donc, et on comptait sur la capacité de négociation espagnole pour faire avancer notamment le Pacte sur la migration et l ’asile », explique Carme Colomina, sans compter que les grandes familles européennes vont entrer dans les jeux politiques avant les élections européennes de 2024.» Sur l’éventuel nouveau gouvernement à Madrid e et le rôle de l'extrême droite Carme Colomina nuance : «Vox a de toute façon évolué comme de nombreux partis de droite radicale : il pratique un euroscepticisme sans vouloir sortir de l ’UE ; leur priorité est de défendre le concept de souveraineté.»

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